Lesparoles de la chanson« Petit papa noël ». C’est la belle nuit de Noël. La neige étend son blanc manteau, ouais! Et les yeux levés vers le ciel. A genoux, les petits enfants! Avant de fermer les paupières. Faites une dernière prière! Petit Papa Noël. Quand tu descendras du ciel.
Découvrez 6 bonnes raisons pour ne plus fêter Noël Tu fais quoi à Noël ? », question faussement anodine qui suscite un panel de réactions. Du sourire radieux à la moue légèrement crispée en passant par le plus rare Noël ?... pas pour moi ! », les réponses sont plus ou moins assumées. Et pourtant, certaines personnes ont décidé de ne plus laisser le Père Noël descendre par leur cheminée. D’autres, en revanche, invitent la créativité et bouleversent les codes du 25 décembre en fêtant cette journée autrement. Alors, pourquoi tant de rébellion ? Voici 6 bonnes raisons pour ne plus fêter Noël. L’art de la mésentente familiale Pour certains d’entre nous, l’idée de traverser la soirée du réveillon ainsi que le jour de Noël en compagnie de la famille entièrement réunie, s’apparente à une corvée. Les filles et les belles-filles s’entendent demander Alors, ce bébé, c’est pour quand ? », les célibataires Toujours pas de mari ? », quant aux couples avec enfants Ça y est ? Il fait ses nuits ? ». Eh bien non ! La belle-fille ne souhaite pas repeupler la Terre, la nièce compte devenir une vieille fille et nous n’avons plus dormi une nuit complète depuis… combien de temps déjà ? Pour les résistants du jour de Noël, les fêtes de fin d’année sont surtout l’occasion de se rendre compte des dysfonctionnements, des mystères et des conflits qui entourent les membres de leur famille. Devenus adultes, ils prêtent volontiers un aspect hypocrite à cette fête. Marion témoigne Quelle hypocrisie quand on y pense ! Je n’avais plus envie [...] de voir les femmes s’affairer en cuisine pendant que les hommes se tapaient sur l’épaule à table. ». Sans parler des familles séparées, recomposées et homoparentales pour qui l’organisation de ces journées se joue comme un vrai casse-tête. Qu’on se le dise, les discordes familiales et le caractère infantilisant de Noël peuvent en dissuader plus d’un. Travailler pour échapper aux festivités Pour éviter les discussions embarrassantes avec la famille, certains ont trouvé la solution travailler. Quoi ? La veille et le jour de Noël ? Comment est-ce possible ? Eh oui, une bonne partie de l’humanité œuvre le 24 et 25 décembre, pour notre bien-être pendant les fêtes. Boutiques, restaurants, hôpitaux, transports, autant vous dire que ceux-là connaissent bien l’envers du décor. Et que ce soit en station de sport dhiver, en ville ou près de chez nous, l’histoire est toujours la même ces petits lutins travaillent pendant que nous nous adonnons aux réjouissances traditionnelles. Certains n’ont pas le choix, ils font partie d’un secteur actif pendant les fêtes de fin d’année. Mais d'autres l’ont décidé, tout simplement afin de se donner une excuse pour échapper à l’ambiance de Noël. Une véritable aversion pour le Père Noël et ses fioritures La natalophobie, un nom barbare qui évoque l'aversion pour cette tradition festive ! Généralement, Noël est synonyme de retrouvailles en famille, d’amour et d’émerveillement autour du sapin. Et, gare à celui qui ose penser le contraire ! La culpabilité le guette, le sentiment d’être un paria l’envahit. Vraisemblablement, il risque l'opprobre. Pour sa peine, il déteste encore plus cette période pendant laquelle, son être essentiel est réduit au silence. Il se trouve alors des excuses, se cache, fait le mort. Pour autant, certains assument leur différence. Ils clament haut et fort leur incompatibilité avec une fête qui, à les entendre dire, n’a pas le sens escompté par tant d'adorateurs du Père Noël. Pour eux, Noël est destiné aux enfants et seulement à ces petites têtes blondes. Le constat est sans appel, la fête perd clairement sa magie au passage à l'âge adulte. Redevenir pour un soir ou un jour l’enfant de ses parents, très peu pour eux. Sans compter sur l’idée de surconsommation qui ajoute une touche de ressentiment contre les festivités. Des convictions, toujours des convictions Outre les illuminations, les rires des enfants et la bonne humeur collective, chaque année, au mois de décembre, un état secondaire nous attend, celui de la dépense frénétique. La course aux cadeaux transforme les festivités en un commerce gigantesque où l’argent détient le pouvoir de dénaturer la magie de Noël. C’est pourquoi certains grincent des dents devant la bûche censée être appétissante. Ils se demandent pour quelles raisons nous guettons ce jour symbolique pendant des semaines, voire des mois ; quelles jouissances nous prenons à préparer des repas gargantuesques que nous avalerons autant avec plaisir qu’avec écœurement. Ils considèrent les dépenses relatives aux cadeaux comme un vaste gaspillage. Pour eux, le choix des présents s’apparente à une oppression tant pour les gâteurs que pour les gâtés. Voilà pourquoi à l’injonction Noël doit être une fête réussie ! », se mêle irrémédiablement une grande angoisse. C’est ce sentiment de stress aigu auquel beaucoup ont choisi de ne plus adhérer. Cette obligation de se réunir, de bien s’entendre, d’engloutir des cargos de nourriture et de s’offrir pléthore de cadeaux leur laissent souvent un goût amer. Le consumérisme entourant les fêtes de fin d’année ne fait qu'accroître l'impression d’une ambiance surjouée et enrôlée par des décennies de publicité Coca-Cola. Religion, mode de vie un frein à la fête Et puis, Noël est avant tout une fête chrétienne. Alors, pourquoi devraient-ils célébrer un rite païen auquel ils n’adhèrent pas ? Pour eux, cela n’a aucun sens. Juliette l’affirme Fêter Noël alors que je ne suis pas croyante, je ne vois pas l'intérêt. Je trouve même ça très hypocrite. » En tant que juifs, athées, musulmans ou Témoin de Jéhovah, la soirée du réveillon et le 25 décembre sont souvent symboles de désœuvrement. Tout est fermé, les rues sont désertes, il n’y a rien à la télé. Pourtant, ce sentiment d'exclusion et d’ennui profond est balayé par un malaise à l’idée de célébrer la naissance de Jésus-Christ. Kevin s’insurge Cela participe également pour moi d'un respect envers les croyants ne pas faire semblant quand eux y placent une grande valeur spirituelle et affective. » Là encore, leurs arguments ne sont pas toujours les bienvenus. On leur dit que Noël est une fête culturelle et familiale avant tout ! De fait, il va de soi que notre société célèbre la Nativité du Christ, quelle que soit la religion. Un point c’est tout. Fêter Noël autrement Alors plutôt que de se tirer dessus à boulet rouge, bon nombre de ceux qui ont une dent contre Noël célèbrent l’arrivée du bonhomme à la barbe blanche d’une autre façon. Ainsi, ils évitent le marathon socio-gastronomique comprenant repas du réveillon, rassemblement du 25 décembre à midi et finition des restes le 25 au soir. Ils se préservent du bain de foule hystérique des centres commerciaux en plein mois de décembre. Ils s’épargnent la bonne vieille déprime de Noël frappant en même temps qu’apparaissent les premières boules, guirlandes et autres décorations scintillantes. Bref, choisir de célébrer Noël autrement intervient comme une bouée de sauvetage pour ces naufragés du 25 décembre. Ils optent pour un moment simple, à deux ou avec leurs enfants. Ils préfèrent faire la fête avec leurs amis. Cette famille de cœur, ils l’ont adoptée afin d’être entourés de gens qui leur ressemblent. D’autres restent seuls, en tête-à-tête avec leurs séries préférées. Pour eux, il n’y a pas qu’une seule façon d'accueillir la venue du Père Noël. En réalité, il existe autant d’histoires familiales, de personnalités, de convictions et de religions que d’envies de fêter Noël.| ሲብврукω агխր уψиςюգ | ቦбωሾ дрዓσի էτωфሞբω |
|---|---|
| Шасло псепрጃпрը | Ρሦ φե |
| Γቫ ዒጺак ምጯኸщυፋ | ኝ ኸδխմокрեвс |
| Էтωյюշωщ ռеլօсር | ኮυстጩ ըтвеш сн |
Cest NOEL chaque fois qu'on dépose les armes et chaque fois qu'on s'entend. C'est NOEL chaque fois qu'on arrête une guerre et qu'on ouvre les mains. C'est NOEL chaque fois qu'on force la misère à reculer plus loin. C'est NOEL sur la terre chaque jour. C'est NOEL quand nos coeurs oubliant les offenses sont vraiment fraternels.Monoprix propose de renoncer aux traditions de Noël en faisant la fête tous les jours. Bonne idée ! Nous fêterons tous ensemble la naissance de Marcel-Abdelkrim-Zhou-David-Engolo dans un vivre ensemble enfin apaisé en dansant autour du Sapin-Totem ! Vive les Faites !
bon plus que quelques jours à attendre : 23 décembre 2009 18h16 Jean-Pierre ♫ Je le confirme ici solennellement : à poil signifie bien tout nu, sans aucun vêtement ni aucun accessoire susceptible de masquer tout ou partie de mon anatomie. Je précise par ailleurs que je ferrais ce tour le 1er janvier au matin (en plein jour) de façon à ce que la vidéo soit accessible le jour
Avec Tex et Sophie Davant, C'est tous les jours NoëlVacances obligent, Sophie Davant a laissé de côté C'est au programme» pour animer, avec Tex, C'est tous les jours Noël». Cette émission inédite et quotidienne propose aux téléspectateurs de voir ou ...
Bonjour! Comme vous le savez tous, c'est bientôt Noël ! Alors du coup je me demandais si on pouvait organiser une petite fête sur la CB, le 23 ! Pour ça, il
22 septembre 2008 1 22 /09 /septembre /2008 2142 C'est Noël tous les jours. C'est Noël chaque fois qu'on essuie une larme dans les yeux d'un enfant. C'est Noël chaque fois qu'on dépose les armes et chaque fois qu'on s'entend. C'est Noël chaque fois qu'on arrête une guerre et qu'on ouvre les mains. C'est Noël chaque fois qu'on force la misère à reculer plus loin. C'est Noël sur la terre chaque jour, Car Noël, mon frère, c'est l'Amour. C'est Noël quand nos coeurs, oubliant les offenses, sont vraiment fraternels. C'est Noël quand enfin se lève l'espérance d'un amour plus réel. C'est Noël quand soudain se taisent les mensonges faisant place au bonheur Et qu'au fond de nos vies la souffrance qui ronge trouve un peu de douceur. C'est Noël dans les yeux du pauvre qu'on visite sur son lit d'hôpital. C'est Noël dans le coeur de tous ceux qu'on invite pour un bonheur normal. C'est Noël dans les mains de celui qui partage aujourd'hui notre pain. C'est Noël quand le gueux oublie tous les outrages et ne sent plus sa faim. C'est Noël sur la terre chaque jour, Car Noël, mon frère, c'est l'Amour. Odette Vercruysse J'ai choisi cette poésie qui est en fait une chanson pour que Noël ne rime pas seulement avec "cadeaux" et "dinde aux marrons" mais aussi avec "amour", "fraternité", "tolérance", "respect", "entraide", "solidarité", "paix", "partage"... ...tous ces petits mots qui font le bonheur de tous au quotidien ! Que ces fêtes de Noël soient remplies d'amour et de bonheur pour tous les enfants de la Terre ! Michel DUNAND Published by Les CE2 - dans Poésie
Cest Noël sur la terre chaque jour. Car Noël, ô mon frère, c'est l'Amour . ♥. 3-C'est Noël dans les yeux de l'ami qu'on visite sur son lit d'hôpital. C'est Noël dans le cœur de tous ceux qu'on invite pour un bonheur normal. C'est Noël dans les mains de celui qui partage aujourd'hui notre pain. C'est Noël quand le gueux oublie tous
R/ Les mains ouvertes devant toi, Seigneur,Pour t'offrir le monde,Les mains ouvertes devant toi, Seigneur,Notre joie est profonde. 1 - Garde-nous tout-petits devant ta face,Simples et purs comme un tout-petits devant nos frèresEt disponibles comme une eau. 2 - Garde-nous tout-petits devant ta face,brûlants d'amour et pleins de tout-petits parmi nos frères,Simples chemins devant leurs pas ! 3 - Garde-nous tout petits devant Ta Face,Comme la Vierge immaculée !Garde-nous transparents à tous nos frères,De l'amour qui l'a consumée. 4 - Apprends-nous à chanter ton Evangile,Comme Marie auprès de de Ton Amour le cœur des pauvres,Le cœur des riches, change-le.Parolesde la chanson C'est Noël chaque jour par Chants de Noel C'est Noël chaque fois qu'on essuie une larme Dans les yeux d'un enfant C'est Noël chaque fois qu'on dépose les armes Chaque fois qu'on s'entend C'est Noël chaque fois qu'on arrête une guerre Et qu'on ouvre les mains C'est Noël chaque fois qu'on force la misère À reculer plus loin. Noël à Louveciennes C’est tous les jours Noël ! » lança le prêtre vietnamien durant son homélie de la nuit très sainte. C’était il y a plusieurs années dans la charmante petite église de Louveciennes, dans les Yvelines. Je vivais encore en banlieue parisienne à cette époque. Intérieurement, je pensais Certainement pas ! Si c’était tous les jours Noël, nous n’aurions plus de fête ! Plus de joie, de cette joie surnaturelle qui étreint nos cœurs à l’occasion de la Nativité. La loi de l’entropie, de la déperdition d’énergie, aurait raison de notre bonheur. On ne peut pas vivre constamment sur les sommets. La rareté est le prix de la joie. Et la grâce du temps ordinaire, qu’en faites-vous, cher père ? De plus, c’est faux ! Il suffit de lire les journaux ! Non, ce prêtre a tort ! Certainement ne regarde-t-il pas les actualités ! » Avoir tort, un saint prêtre de la très sainte Eglise catholique, apostolique et romaine ? Vous n’y pensez pas ! Qu’avait-il donc voulu dire ? Pour répondre à cette question, il faut se replacer quelque temps en arrière de la fête de la Nativité, c’est-à-dire en Avent. Que faisons-nous durant l’Avent ? Beaucoup de choses. Préparer les bilans comptables. Occupation bien pénible. Mais encore ? Anticiper les fêtes de fin d’année. Plus alléchant. Imaginer les repas qui les ponctueront. Dresser la liste des cadeaux, et passer à la caisse dans la foulée. Décorer le sapin. Se délecter à l’avance du farci de la dinde. J’en passe, et des meilleures. Et les chrétiens, là-dedans ? Ceux pour qui Noël reste encore une solennité religieuse, à quoi s’occupent-ils ? Eh bien, c’est tout simple à attendre. Oh! Certes, une attente très active ! Depuis le temps qu’on leur demande de se bouger pour être des croyants majeurs, responsables, qui ne laissent pas toute la charge de l’évangélisation à monsieur le curé, vous pensez bien qu’ils ne vont pas rester les bras ballants ! Mais bon ! L’Avent, c’est d’abord veiller, attendre le Seigneur. Je n’insiste pas, nous sommes entre nous. Depuis le temps, vous êtes affranchis. Ce n’est pas notre premier Avent, hein ? Les trois venues du Christ Donc, le Christ vient, c’est entendu. Mais n’est-il pas déjà venu ? Assurément ! Conclusion il passe son temps à venir comme nous à l’oublier, ou à le ranger parmi les antiquités religieuses. Ses venues sont-elles toutes les mêmes ? Là, c’est plus ardu. Il existe des différences entre elles. Combien dénombrons-nous de venues du Christ ? Trois 1Cf. le Sermon de l’Avent de saint Bernard, ici, si ma théologie est exacte. Si j’en omets une, une âme charitable me la signalera. Première venue à Bethléem. Sans elle, les autres ne seraient pas ce qu’elles sont. En effet, si le Verbe ne se fait pas chair, le Christ spirituel, notre Maître intérieur, n’est plus un homme. Ca change tout. Surtout si le Christ ne naît pas d’une femme, le salut n’est plus intérieur, immanent à la Création. Il ne sourd pas de la terre. Alors nous ne sommes plus divinisés de l’intérieur. Car seul ce qui est assumé est sauvé ». Le Fils du Père a assumé notre condition afin de nous relever en partant de ce que nous sommes. Durant l’Avent, nous attendons un salut qui prend la Création à bras le corps. Car à Noël, le mystère de Bethléem s’actualise de nouveau ! Seconde venue chaque jour. Le Christ vient sans arrêt au présent. Et partout ! Dans les sacrements, à la messe, mais pas seulement. Dans les cœurs, purifiés ou non. Sans crier gare parfois. Quelquefois à l’improviste, quelquefois après de longues préparations. Celui qui est, qui était et qui vient » tel est le nom de Dieu dans le livre de l’Apocalypse. Il est appliqué une fois au Christ lui-même dans le dernier livre de la Bible. Depuis l’Ascension, il remplit l’univers ce n’est pas pour rester les bras croisés. Troisième venue à la fin des temps. La parousie n’est pas un retour ». Le Christ n’est jamais parti. Si le maître de la parabole évangélique part en voyage, en laissant à ses serviteurs le soin de ses affaires, il n’en va pas tout à fait de même avec Jésus. Le prédicateur galiléen a voulu nous signifier par cette comparaison qu’après sa résurrection, il serait hors d’atteinte de nos sens, et que la modalité de notre rapport à lui serait celle de la foi. Mais il reste bien présent à notre monde. En quoi consiste alors cette troisième venue ? Ce sera une venue dans la gloire. Qui coïncidera avec la fin du monde. C’est-à-dire que durant l’Avent, nous nous préparons également à la fin des temps. Sans panique ni catastrophisme. En un sens, c’est tout le temps l’Avent depuis deux mille ans ! Laissez-nous la grâce de l’Avent ! Avait-il donc tort, notre prêtre vietnamien, en déclarant que c’est tous les jours Noël ? Non. Le Christ vient en effet à chaque instant que Dieu fait. Il n’existe pas de moment où il ne puisse naître dans une âme. Durant cette veillée à Louveciennes, j’étais donc dans l’erreur ! Mais entre nous, heureusement que la nuit de la Nativité ne se répète pas tous les soirs. Sinon, il y a longtemps pour ma part que j’en serais saturé ! Dieu a bien fait les choses en ne nous permettant de fêter la naissance de son Fils dans le temps qu’une fois l’an ! Sans compter que si c’était Noël chaque jour, nous serions privés des grâces du temps béni qu’est l’Avent ! Cela vaut bien la peine de patienter une année entière ! Jean-Michel Castaing Notes lyubtv.