DieKlapperschlange (DVD, 2010 -) mit Kurt Russell, Lee van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Isaac Hayes, Harry Dean Stanton, Adrienne Barbeau, Tom Atkins (EAN 4011976873884) : Tauschen Sie diesen Film bei Tauschticket.de. Über 1.000.000 Artikel sofort verfügbar!
La présence de Lee Van Cleef sur Nanarland pose une fois de plus la question de la définition du terme acteur nanar ». Peut-on décemment qualifier ainsi cet acteur au physique inoubliable, qui créa l’une des figures les plus mémorables du cinéma post-1945 ? Et bien, malheureusement, oui, car un examen attentif de la filmographie révèle bien qu’il ne sût guère profiter de sa collaboration avec Sergio Leone et devint bien vite, en partie de sa propre initiative, le héros de la série B la plus routinière, avec d’occasionnels nanars Van Cleef est né le 9 janvier 1925 à Somerville New Jersey, Etats-Unis. Engagé dans la marine de guerre durant le deuxième conflit mondial, il travaille ensuite comme comptable, tout en faisant du théâtre amateur durant son temps libre. Lee Van Cleef n’était pas tendre avec cette période de sa vie J’étais laid, j’étais pauvre », déclarait-il. Mais sa passion pour le théâtre va changer sa vie passant une audition pour dans une troupe professionnelle, il décroche un rôle pour une tournée. Le réalisateur Stanley Kramer, assistant à une représentation de la pièce, remarque le physique de Lee et l’embauche aussitôt pour un petit rôle de méchant dans Le Train sifflera trois fois », qu’il ce classique du western, qui met en vedette Gary Cooper et Grace Kelly, Lee Van Cleef interprète un simple sbire. Son rôle est muet mais son physique y est suffisamment mémorable pour que les propositions s’enchaînent. Devenu enfin comédien professionnel, Lee tient de nombreux seconds rôles au cinéma, tout particulièrement dans des westerns, dont quelques-uns des derniers très grands succès du genre comme Règlement de comptes à OK Corral » et L’Homme qui tua Liberty Valance ». Spécialisé dans les rôles de coyotes à foie jaune qui viennent chercher querelle au héros dans le saloon, Lee Van Cleef a l’honneur de se faire corriger ou refroidir par des stars comme John Wayne, Kirk Douglas ou Randolph Scott. On le voit également dans d’occasionnels nanars, comme le célèbre It conquered the world », où il est un savant félon aidant un concombre écarlate de l’espace à envahir la au début des années 1960, sa carrière va ralentir quelque peu suite à un accident de voiture qui le laissera avec une légère claudication. Lee Van Cleef aurait en outre souffert d’un début de cancer suite à sa présence sur le tournage du péplum Le Conquérant » 1956, que les producteurs avaient eu la brillante idée de réaliser sur un ancien terrain d’expérimentations nucléaires de l’armée. L’acteur principal John Wayne y aurait contracté le cancer dont il mourut 20 ans plus tard après de nombreuses rémissions ; le réalisateur Dick Powell, l’actrice principale Susan Hayward et plusieurs autres participants au film moururent du cancer. Ses ennuis de santé l’ayant laissé quelque peu diminué, Lee Van Cleef se remet en se consacrant à la peinture puis, une fois remis sur pied, va envisager d’abandonner sa carrière d’acteur pour devenir décorateur d’intérieur. Mais le destin va frapper, par le biais d’un coup de téléphone en provenance de l’Italie un certain Sergio Leone se prépare à tourner son second western, Et pour quelques dollars de plus », et cherche un acteur de western relativement connu pour donner la réplique à Clint Eastwood. L’incroyable gueule de Lee Van Cleef, sa brillante interprétation du Colonel Mortimer, anti-héros cynique, en font aussitôt une star mondiale. Ses yeux en amande, son visage anguleux, sa démarche rendue lente par son ancienne blessure à la jambe marquent définitivement le mode du western spaghetti bat alors son plein et notre homme va en devenir l’une des principales stars il reprend son rôle de héros pas commode dans l’excellent Colorado » La Resa dei conti de Sergio Sollima, où il tient la vedette avec le cubain Tomas Milian, puis casse la baraque dans Le Bon, la brute et le truand » de Sergio Leone, où il décline cette fois son personnage en inoubliable tueur sadique. Lee Van Cleef est désormais devenu l’une des gueules les plus connues du cinéma identifié au genre western, il aura même l’honneur de figurer en méchant vedette dans un épisode de Lucky Luke, Chasseur de primes ».Lee dans "Les Quatre Mercenaires d'El Paso" d'Eugenio MartínMais la mode du western va hélas décliner, en Italie comme aux Etats-Unis, et Lee Van Cleef va avoir du mal à se renouveler. Faisant son métier sans grand sérieux en se contentant de profiter de la chance du moment, il ne s’est guère soucié de varier ses personnages. Il en arrive à s’auto-parodier dans de nombreux films, comme le polar italien L’Homme aux nerfs d’acier », où il affronte un parrain de la mafia interprété par Jean Rochefort !.L’âge venant, il s’oriente vers les personnages de vieux maîtres et partage la vedette de La Fureur du Juste » avec Chuck Norris, avant de se ridiculiser dans la très mauvaise série télé L’Homme au katana » alias Ninja Master » où il interprète un vieil artiste martial assez peu crédible. Selon plusieurs témoignages voir à ce sujet l’interview de Bruce Baron, Lee Van Cleef s’est mis à abuser de la bibine, ce qui limite quelque peu son dynamisme sur les tournages. Il connaîtra cependant un bon rôle dans les années 1980, avec New York 1997 ». Un rôle qu'il doit à son travail avec Sergio Leone, dont John Carpenter, amateur de westerns, est un grand après le tournage d’un dernier film, Lee Van Cleef meurt d’un arrêt cardiaque le 16 décembre 1989, à Oxnard, en Californie. Sa filmographie très inégale ne doit pas faire oublier la qualité de certaines de ses prestations, qui prouvent à quel point un acteur peut faire éclater son potentiel à la faveur d’un grand rôle. Il est très regrettable que Van Cleef n’ait pas su se renouveler, victime autant d’un physique trop marqué que de son manque d’ambition. Mais sa gueule mémorable lui aura permis, à défaut de se maintenir au panthéon des stars, de rendre inoubliables bien des séries B et quelques nanars, laissant l’empreinte d’un géant dans l’histoire du cinéma de genre.
LeeVan Cleef. Clarence LeRoy "Lee" Van Cleef Jr. (January 9, 1925 – December 16, 1989) was an American actor best known for his roles in Spaghetti Westerns such as For A Few Dollars More and The Good, the Bad and the Ugly. Hatchet-faced with piercing eyes, he had declined to have his nose altered to play a sympathetic character in his film

La gazette en PDF Infos pratiques Le cinéma Infos pratiques Presse & Communication Scolaires Écoles et centres de loisirs Ecole & Cinéma / Collège au cinéma / Lycéens et apprentis au cinéma Espace Pro & CE Archives des films Menu Skip to content À l’affiche Horaires des séances Prochainement Événements Vente d’affiches 1997, Manhattan est une ville-prison où sont enfermés 3 millions de prisonniers. Victime d’un attentat, l’avion du Président des Etats Unis s’écrase dans Manhattan. Snake Plissken est chargé de le retrouver et le ramener sous 24 heures. Passé ce délai, les implants qu’il a dans la tête exploseront…

Toutsur New York 1997 Blu-ray - Kurt Russell - Lee Van Cleef, Blu-ray et toute l'actualité en Dvd et Blu-ray. Rayons. belle édition BR New York 1997 francois c. 4. Achat vérifié Avis posté le 06 oct. 2020 suite à un achat le 18 sept. 2020 auprès de Fnac.com Film d action des années 80. Juste pour revoir Kurt Russell jeune . Une ville transformée en
ESCAPE FROM NEW YORK En raison d'une énorme hausse de la criminalité, le gouvernement prend la décision de transformer New York en centre de détention perpétuelle. Une fois à l'intérieur, les prisonniers sont livrés à eux-mêmes et il n'est plus question d'en ressortir ! Suite à une prise d'otages, l'avion présidentiel est détourné avant de s'écraser à l'intérieur du périmètre d'incarcération. Pressé par le temps, la décision est prise d'envoyer un dangereux criminel à l'intérieur de la prison pour ramener discrètement le président et ses précieux documents. Après FOG, John Carpenter aurait du réaliser PHILADELPHIA EXPERIMENT pour Avco Embassy. Mais n'étant pas satisfait du scénario, il propose à la maison de production un scénario qu'il traîne depuis quelques années déjà et qui devient ESCAPE FROM NEW YORK soit NEW YORK 1997 en version française. Tout comme HALLOWEEN et FOG, la majeure partie de NEW YORK 1997 se déroule de nuit et comme pour les deux films précédents, c'est Dean Cundey qui s'occupe de la photo du film sur lequel ils expérimentent de nouveaux objectifs qui ont l'avantage d'obtenir une plus grande profondeur de champ et surtout d'être adaptés aux tournages nocturnes. Autre élément clef dans la réalisation de NEW YORK 1997, Joe Alves s'occupe de préparer le terrain. Ancien collaborateur de Steven Spielberg sur LES DENTS DE LA MER et RENCONTRES DU TROISIEME TYPE, ce directeur artistique passera à la réalisation pour LES DENTS DE LA MER 3. Sur NEW YORK 1997, il s'occupera donc essentiellement de transformer des paysages contemporains de Saint Louis pour qu'ils ressemblent à une version chaotique de New York. Pas mal d'ingéniosité de son côté ainsi que la mise en scène de John Carpenter permettent de créer l'illusion avec un petit budget de six millions de dollars. Au final, le film sera un succès qui sera inévitablement repris pour quelques copies sur celluloïd, que ce soit de façon directe comme l'amusant 2019 APRES LA CHUTE DE NEW YORK ou indirecte tel que l'évasion de la chambre d'hôtel dans NEMESIS. Toujours de FOG, John Carpenter reprend aussi Adrienne Barbeau et Tom Atkins mais il lui manque l'acteur pour interpréter le rôle principal ! Pour incarner l'anti-héros Snake Plissken, John Carpenter pense à Kurt Russell avec qui il a déjà travaillé sur la mini-série, distribuée en version courte dans les salles de cinéma françaises, LE ROMAN D'ELVIS. Un peu incrédule face à un acteur jusque-là cantonné à des interprétations un peu trop lisses, la production aurait préféré imposer Charles Bronson qui aurait été intéressé par le rôle. Mais John Carpenter soutient mordicus Kurt Russell. Suite à ce tournage, les deux hommes deviendront amis et ils se retrouveront pour THE THING, LES AVENTURES DE JACK BURTON et LOS ANGELES 2013, la suite mal perçue de NEW YORK 1997. Pour lui donner la réplique, ils engagent Lee Van Cleef, figure légendaire du Western que ce soit pour Sergio Leone LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND…, le personnage de SABATA ou une flopée de Westerns américains plus traditionnels. Au moment de NEW YORK 1997, son heure de gloire est passée et il lui faut malheureusement plus tard cachetonner ici ou là, même à la télévision dans une série télévisée où il incarne un ninja poursuivi par Sho Kosugi. Enfin, NEW YORK 1997 se pare de Donald Pleasence, Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton et même de Isaac Hayes, compositeur, entre autre, du thème musical de SHAFT. Season Hubley, épouse à l'époque de Kurt Russell, vient donner la réplique à son mari dans un rôle assez bref. Et pour ceux qui ne le saurait pas, Jamie Lee Curtis est même de la partie puisqu'elle prête sa voix lors de la présentation de la prison au début du film. Après les évènements du 11 septembre, il y eut des rumeurs concernant la modification de films et NEW YORK 1997 faisait partie du lot. Une rumeur entretenue par la modification de MEN IN BLACK II ou la disparition du Teaser de SPIDER-MAN qui mettait en vedette les tours jumelles. Des Américains ont du voir avec le crash volontaire d'un avion dans un immeuble au début du film et l'utilisation du World Trade Center dans le scénario, de mauvais souvenirs à effacer. Heureusement, ces rumeurs se sont avérées fausses et John Carpenter revient d'ailleurs rapidement là-dessus dans sa petite présentation parmi les suppléments. A l'origine, John Carpenter avait tourné toute une séquence d'un casse réalisé par Snake Plissken avant que celui-ci ne soit appréhendé dans le métro. Jugé trop longue et ralentissant l'entrée dans le vif du sujet, cette séquence disparaît totalement avant que l'on en retrouve des morceaux, sans piste sonore, sur le Laserdisc de New Line. Depuis, l'intégralité de la séquence a été retrouvée, bande-son incluse, et il serait prévu de la rajouter au film pour une future édition sur DVD. L'édition française ne fait pas vraiment mention de ce passage d'une dizaine de minutes, bien que rapidement évoqué dans la présentation de John Carpenter, et pas la moindre image n'est visible non plus ! Au fil des ans, le personnage de Snake Plissken est devenu une véritable icône. Anti-héros qui n'agit que pour lui-même, Snake Plissken s'inscrit naturellement dans un système où la vie humaine n'a plus beaucoup d'importance. Pas vraiment du côté du bien, Snake Plissken apparaît pourtant bien plus humain qu'un Président des Etats-Unis, incarné par Donald Pleasence, antipathique mais probablement pas si éloigné de la plupart des personnes qui nous gouvernent. L'univers de NEW YORK 1997 n'a rien de rose et ne fait pas montre de manichéisme. La fin de NEW YORK 1997 ne se lance pas non plus dans le happy-end même si sa conclusion est des plus jouissives. Celle-ci sera encore décuplée dans le final mémorable de LOS ANGELES 2013 quinze ans plus tard ! NEW YORK 1997 est un film d'anticipation critique envers la société américaine. Mais tout cela se fond dans un véritable film d'action où l'on suit le périple d'un Snake Plissken qui va se faire taper dessus, mitrailler, et devra souffrir pour atteindre son but. Des ingrédients qui font recette comme c'est le cas d'une autre icône du cinéma avec le John McClane de la série des DIE HARD PIEGE DE CRISTAL et ses deux suites. L'aspect politique du film s'efface donc au profit de l'efficacité rigoureuse du film d'action. En réalisant un vrai/faux remake avec LOS ANGELES 2013 version comics-book», John Carpenter se permettra de pousser le bouchon beaucoup plus loin dans sa critique de la société américaine. TF1 Vidéo avait déjà sorti sa propre version de NEW YORK 1997 sur DVD. Le cadre n'était pas exactement respecté et, comme on peut le voir sur les images, le nouveau transfert réalisé par Studio Canal découvre un peu plus d'images sur les côtés pour retrouver le cadrage en format large d'origine. Les couleurs très froides, limite clinique, du disque TF1 sont remplacées par des couleurs bien plus chaudes et une teinte plus proche des intentions d'origine. Néanmoins, l'image n'est pas exempte de défauts et la compression se fait sentir essentiellement dans les arrière-plans. Le disque contient la piste sonore anglaise en Dolby d'origine, codée sur deux canaux et que l'on peut décoder en ProLogic, mais aussi de nouveaux mixages en Dolby Digital Ce choix est disponible que ce soit pour la version originale ou le doublage français. Dans un cas comme dans l'autre, si l'on gagne en clarté et en dynamisme, les pistes sonores n'ont pas été modifiées de façon radicale pour respecter les bandes-son d'origine, à l'exception peut-être d'une mise en retrait de certains dialogues sur la version anglaise. Certains effets, comme des coups de feu, pourront ainsi paraître un peu étouffés voire très étranges pour ceux qui sont habitués à écouter des films récents en multi-canaux. Mais au moins, personne ne s'est amusé à jouer les apprentis sorciers ! Concernant le doublage français, il semble être en simple stéréo et manque un peu de spatialisation. On retrouve ce problème sur le mixage dans une moindre mesure mais ce mixage ne parvient pas à donner la même impression de réalisme que la version anglaise. Parmi les suppléments, on peut regretter l'absence d'un commentaire audio. Celui-ci existait pourtant bel et bien sur le Laserdisc américain et donnait la parole au réalisateur mais aussi à l'interprète de Snake Plissken. Pour qui a eu le plaisir de l'écouter, cela paraîtra encore plus décevant de ne pas retrouver les deux hommes nous parler du film avec nombre d'anecdotes amusantes comme la séquence trop réaliste au goût de Kurt Russell du combat sur le ring puisque le catcheur face à lui ne faisait pas semblant ! Il est probable que New Line, éditeur du Laserdisc à l'époque, n'a pas laissé échapper ce bonus tout comme des scènes coupées du casse qui devait ouvrir le film ou une interview de Carpenter à propos du film. L'interview de Carpenter, présente sur le Laserdisc, sera remplacée ici par une autre réalisée spécialement pour le DVD français. Le réalisateur présente rapidement la genèse du film et parle au passage du challenge de montrer visuellement à l'écran un New York abandonné à des prisonniers sans foi ni loi. En dehors de cette petite présentation, on retrouvera trois bandes-annonces mais celle du disque français, présentée en format large, n'est pas sur ce disque. Enfin, deux galeries de photos permettent de découvrir des affiches internationales du film ainsi que divers clichés photographiques. Quelques filmographies plus tard, vous en aurez terminé avec les suppléments spécifiques à NEW YORK 1997. Dernier supplément, le disque contient un petit documentaire qui donne la parole à divers réalisateurs et acteurs pour nous donner leur opinion concernant John Carpenter. Ce sont donc, entre autre, Vincenzo Natali CUBE…, Jaume Balaguero LA SECTE SANS NOM et DARKNESS qui parle d'ailleurs en français, Eric Valette MALEFIQUE, Doug Headline BROCELIANDE, Brian Yuzna SOCIETY, LE RETOUR DES MORTS-VIVANTS 3… ou George Corraface qui se succèdent en exprimant leur admiration pour Mr. Carpenter. L'acteur George Corraface, le seul à avoir travaillé directement avec John Carpenter, a d'ailleurs quelques anecdotes plutôt amusantes dont l'une d'elles nous prouve que des différences de budget peuvent modifier considérablement le casting d'une colombe. Nous attendions une édition plus impressionnante de NEW YORK 1997 sur DVD après le disque un peu vide de TF1 Vidéo. A l'arrivée, il y a de quoi être partagé entre le plaisir de revoir le film accompagné de quelques suppléments sympathiques la présentation de John Carpenter et le documentaire et l'impression que l'édition définitive se trouve encore bien éloignée ! 4 news 635 critiques Film & Vidéo 2 critiques Livres On aime Snake Plissken Les acteurs La présentation de John Carpenter Le documentaire On n'aime pas Quelques soucis de compression Une édition qui n'est hélas pas aussi complète comme on pouvait l'espérer Mon compte Se connecter S'inscrire Notes des lecteurs Votez pour ce film Vous n'êtes pas connecté ! 7,88 24 votes Ma note - Autres critiques L'édition vidéo Editeur Support DVD Double couche Audio English Dolby Digital English Dolby Digital Stéréo Surround Francais Dolby Digital Francais Dolby Digital Stéréo Supplements Présentation par John Carpenter 10mn38 Carpenter vu par… Documentaire – 21mn06 Bandes-annonces Teaser 1 Teaser 2 Trailer Galerie de photos Photos de tournage Photos de production Filmographies John Carpenter Kurt Russell Lee Van Cleef Donald Pleasence Adrienne Barbeau Menus Autres éditions vidéo
VanCleef New pas cher ⭐ Neuf et occasion Meilleurs prix du web Promos de folie 3% remboursés minimum sur votre commande !
ESCAPE FROM NEW YORK Film américain John Carpenter, 1981 Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Isaac Hayes Affiche française, 1981 Illustrateur René Ferracci Format 120×160 cm cm / 47×63 in Imprimeur Lalande-Courbet. Wissous. Non entoilée / Bon état NON LINENBACKED / Good condition
Pourdes raisons budgétaires, New York 1997 fut tourné à Saint-Louis. Il reçut quatre nominations lors des Saturn Awards en 1982. 15 ans plus tard, John Carpenter et Kurt Russell tourneront la suite, Los Angeles 2013. Casting. Réalisation : John Carpenter. Distribution : Kurt Russell (Snake Plissken), Lee Van Cleef (Bob Hauk), Ernest Borgnine Revoir New York 1997 en 2020 c'est s'offrir un petit plaisir coupable, remonter le temps pour découvrir un passé qui n'a finalement jamais existé, replonger aux sources du mythe Snake Plissken, retrouver le duo John Carpenter-Kurt Russell ainsi que toute une magnifique bande de bad boys devant la caméra, le temps d'une histoire probablement connue de tous l'avion du président des États-Unis, le célèbre Air For One, est détourné par des terroristes et se crashe sur l'une des tours du World Trade Center ; las, Manhattan est devenu une prison à ciel ouvert, d'où personne ne peut sortir vivant, alors, pour le libérer, on envoie un ancien héros devenu malfaiteur. Il a vingt-quatre heures pour ramener le président et, accessoirement, sauver sa peau. C'est brut, c'est simple. C'est une sorte de western d'anticipation, urbain et noir, où rien n'est superflu. John Carpenter va à l'essentiel dans une intrigue taillée à l'os, où les décors apocalyptiques nous plongent dans un monde en pleine régression, peuplé de tribus bariolées et peu fréquentables, un peu Warriors, un peu Mad Max. Le casting est parfait Lee Van Cleef en super flic vicieux, Ernest Borgnine en chauffeur de taxi gouailleur et généreux, Isaac Hayes en imposant chef de meute, Harry Dean Stanton en ex-complice avide de rédemption, Donald Pleasance en président ridiculisé et revanchard et, last but not least, Kurt Russell en héros borgne digne de ses grands aînés de l'Ouest sauvage, John Wayne, James Stewart ou Clint Eastwood... Il n'y a rien à jeter. L'action est omniprésente, l'humour est bien là le "Je te croyais mort" lancé à Snake Plissken revient comme un running gag, les clins d'œil sont amusants on ne téléphone jamais à des gars dénommés Romero et Cronenberg par hasard, l'intrigue a un petit goût politique même si on en voit très peu de chose, John Carpenter nous décrit les États-Unis de 1997 comme un pays qui ne semble plus avoir grand-chose de démocratique, et puis il y a ce petit côté suranné du cinéma à papa un montage parfois un peu lent, un budget figurants en apparence assez limité, les effets spéciaux pour multiplier les humains à l'infini n'existaient pas, et on reste scotché par l'omniprésence du World Trade Center sur tous les plans d'ensemble. Ils nous rappellent que cette Amérique futuriste de l'époque 1981 n'a pas été celle décrite par John Carpenter, elle est sans doute bien pire. NdR - New York 1997 95 min. réalisé par John Carpenter sur un scénario de John Carpenter et Nick Castle. Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Donald Pleasance, Isaac Hayes, Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton... Bonus. Présentation du film par John Carpenter. Documentaire Carpenter vu par.... Photos. Filmographies. Bandes annonces. Livret d'Hélène Frappat 84 p..- Le président est mort... - Ils ont dû le bouffer.

Castingcomplet du film New-York 1997. Réalisateur : John Carpenter. Acteurs, actrices : Kurt Russell, Lee Van Cleef

Regarder maintenant NoteGenresScience-Fiction , Action & Aventure Réalisateur Casting Résumé1997, Manhattan est une ville-prison où sont enfermés 3 millions de prisonniers. Victime d’un attentat, l’avion du Président des États-Unis s’écrase dans Manhattan. Snake Plissken est chargé de le retrouver et le ramener sous 24 heures. Passé ce délai, les implants qu’il a dans la tête exploseront…Bundle OffersOù regarder New York 1997 en streaming complet et légal ?En ce moment, vous pouvez regarder "New York 1997" en streaming sur Canal+, Shadowz, Shadowz Amazon Channel. Il est également possible de louer "New York 1997" sur Orange VOD, Filmo TV, Canal VOD, Bbox VOD, LaCinetek, Universcine, Apple iTunes, Amazon Video en ligne ou de le télécharger sur Apple iTunes, Orange VOD, Filmo TV, Canal VOD, LaCinetek, Universcine, Amazon Video. Ca pourrait aussi vous intéresser Prochains films populaires Prochains films de Science-Fiction Acteurs Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Isaac Hayes, New York 1997 reste une référence dans les filmographies de John Carpenter et de Kurt Russell. Les
Titre Original Escape From New York De John Carpenter Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Adrienne Barbeau Année 1981 Pays Etats-Unis Genre Science-Fiction Résumé En 1997, Manhattan est devenu une immense île-prison ou trois millions de détenus sont organisés en bandes rivales. A la suite d’un attentat, l’avion du Président des Etats-Unis se crashe dans le pénitencier. Le chargé de sécurité Bob Hauk décide d’envoyer un prisonnier pour le récupérer. Ce détenu s’appelle Snake Plissken. Lâché à l’intérieur, il doit se frayer un chemin en évitant les loubards et les cannibales qui peuplent Manhattan. Snake n’a que quelques heures pour récupérer le président, éviter un incident diplomatique catastrophique et surtout… désamorcer les mini-bombes qu’on lui a implantées dans le corps à son insu. Avis Quand John Carpenter fait un film, il y a toujours des messages sous-jacents. Ainsi, Prince des Ténèbres n’est pas seulement un film angoissant, mais il est aussi un tollé contre l’église et la religion au sens large. Invasion Los Angeles n’est pas seulement un film sur une invasion extraterrestre, mais une critique acerbe du système publicitaire et du gouvernement. The Thing n’est pas qu’un film d’horreur puisqu’il montre la paranoïa des gens face à l’inconnu, et la confiance qu’à l’homme en l’homme. Bref, tous ses films ont un côté politique et possède une critique cachée très virulente envers le système, ou encore envers la culture de masse. New-York 1997 ne fait pas exception à la règle puisqu’il va proposer un univers futuriste très pessimiste et une vision de l’armée ainsi que du gouvernement très négative. On est tous d’accord pour dire que New-York n’est pas devenu une cité forteresse, mais le film datant de 1981 reste assez visionnaire et propose quelque chose de très inventif et peut-être de prévisionnel pour un futur pas si éloigné. Et si on allait faire un tour du côté de Manhattan. Le scénario de ce métrage est assez simple dans sa structure, ainsi que dans son déroulement. Il est plus difficile d’accéder à la seconde lecture, avec le message que veut faire passer Carpenter. On va donc suivre le Président des Etats-Unis qui se crashe en plein dans la prison qu’est devenue l’île de Manhattan. Seulement, cette prison n’est soumise à aucune règle et la loi du plus fort règne en maître. Il devient urgent de libérer le président, d’autant plus qu’il détient un microfilm pour une conférence sur le devenir du monde. Les autorités décident alors d’envoyer un condamné, Snake Plissken, ancien vétéran de l’armée pour sauver le président. Sa récompense ? La liberté mais pour qu’il accepte, on lui injecte des micro-bombes dans le sang qui exploseront au bout de 24h s’il ne revient pas avec le président vivant. Dès le départ du film, le ton est donné. On aura droit à de l’action, mais on voit très rapidement le message de Carpenter le gouvernement est pourri jusqu’à la moelle. Le fait que Plissken se retrouve dos au mur est la démonstration d’un gouvernement tyrannique auquel le héros ne peut faire face. Encore une fois, les thèmes préférés du cinéaste sont agglutinés dans ce métrage avec une force impressionnante. Ainsi, la minorité s’oppose à la majorité et parfois, la nature humaine dispose de ressource insoupçonnée. L’autre point fort du film, c’est l’ambiance qui règne dans ce film. Dès le départ, on ressent une grande froideur dans les décors, presque une rigidité absolue du côté civilisé ». Seulement, le chaos qui règne de l’autre côté du mur donne un sentiment d’isolement alors qu’il y a plein de prisonniers. Les couleurs et les lumières sont finement choisis, puisque le maître utilise des tons bleus, et la seule lumière jaune qui est exploitée se retrouve sur le ring ou Snake combat le gros porc, donnant un sentiment d’urgence et de chaleur. Tout demeure très austère, d’un côté comme de l’autre et donne un sentiment de morosité, voir même de fin du monde assez délicate. Rends-moi mon œil ! Carpenter sait s’entourer d’acteurs de talent et la nature de ses films y est surement pour quelque chose. On retrouve des acteurs de talent et notamment deux acteurs qui ont déjà officié pour lui. En héros charismatique et musclé, nous avons droit à Kurt Russell, héros de The Thing qui campe un Snake Plissken qui se passe de commentaire. Incarnant une classe naturelle et une assurance déstabilisante, Kurt Russell est à fond dans son rôle et joue à la perfection le héros qui s’en les bat les couilles de tout et qui se retrouve confronté à une autorité qui ne lui plait pas. Son personnage inspirera d’ailleurs le jeu vidéo avec Metal Gear Solid et son héros borgne Solid Snake. On retrouve aussi Donald Pleasence, déjà vu dans Halloween et Prince des Ténèbres, qui joue ici le président des Etats-Unis et qui le fait avec une certaine froideur, donnant un personnage détestable que l’on aime voir souffrir. Il le joue formidablement bien mettant en avant un côté déshumanisé incroyable, et ajoutant un élan de haine envers ce personnage censé représenter le peuple avec son je m’en foutisme sur la fin du métrage. On retrouve aussi de grand acteur comme Lee Van Cleef, jouant le chef de l’armée, un salaud de première qui abuse de son pouvoir et qui se fiche des vies humaines, préférant le résultat et sa carrière. Là encore, rien à dire sur son jeu de comédien. Côté féminin, on n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent, si ce n’est Adrienne Barbeau et c’est un beau morceau, déjà vu dans The Fog, qui joue la pute de luxe d’un détenu et qui joue fort bien son rôle, se révélant à la fin. Seul le méchant m’a semblé peu convaincant, trop gentil et pas assez dans l’excès, qui se fait voler la vedette par Romero, son subalterne. On retrouve d’ailleurs deux références du cinéma avec Romero et Cronenberg. Reste aussi Cabbie, le regretté Ernest Borgnine et Brain, joué par Henry Dean Stanton, qui sont tous les deux formidables. Les effets spéciaux restent corrects et le film n’a pas trop vieilli. On aimera encore les quelques passages gores comme le coup de massue derrière le crâne ou encore la mort d’Adrienne Barbeau. Au final, New-York 1997 est certainement l’un des meilleurs films de Carpenter. Critiquant ouvertement le gouvernement et le système carcéral, Carpenter vise encore une fois des principes qui lui sont chers et les exploite de façon intelligente. S’entourant d’acteurs talentueux, avec un Kurt Russell habité par son rôle, Big John propose un film froid, nerveux et diablement efficace. Un film qu’il faut posséder si l’on aime Carpenter et si l’on est fan des films d’action intelligents avec un héros hautement charismatique. Note 16/20 [youtube]

LeeVan Cleef est mort d'une crise cardiaque le 16 décembre 1989 à Oxnard en Californie, il repose au cimetière du Forest Lawn Memorial Park des collines d'Hollywood à Los Angeles en Californie. Lire plus Lire moins Filmographie de Lee Van Cleef . Speed zone ! (1989) un film de Jim Drake. La course du Cannonball déclarée illégale par les autorités a bien failli

Sortie 24 juin 1981 De CARPENTER John avec Ernest Borgnine, Lee Van Cleef, Kurt Russell En 1997, Manhattan est devenu une immense prison ghetto où vivent, en micro-société, trois millions de prisonniers. Victime d'un attentat, l'avion du Président des États-Unis s'écrase en plein Manhattan avec des documents ultra-secrets. Snake, un dangereux criminel, est chargé, en échange de sa grâce, de partir à la recherche du Président. Parachuté dans Manhattan, il dispose de vingt-quatre heures pour mener à bien sa mission Infos, vidéos & détails New York 1997New York 1997 Bande-annonce VOEn 1997, Manhattan est devenu une immense prison ghetto où vivent, en micro-société, trois millions de prisonniers. Victime d'un attentat, l'avion du Président des États-Unis s'écrase en plein Manhattan avec des documents ultra-secrets. Snake, un dangereux criminel, est chargé, en échange de sa grâce, de partir à la recherche du Président. Parachuté dans Manhattan, il dispose de vingt-quatre heures pour mener à bien sa mission… Réalisé par CARPENTER John Avec Ernest Borgnine, Lee Van Cleef, Kurt RussellNationalité Etats-UnisAvis des utilisateurs2veulent le voir14avis au totalNoter le filmNew York 1997Trouvez des séances Quels sont les nouveaux films à l'affiche au cinéma ? Retrouver toutes es nouveauté de la semaine depuis la rubrique "Tous les films à l'affiche", un bandeau "Nouveau" s'affiche sur les affiches des sorties de la semaine. En savoir plus Comment savoir si un film est disponible IMAX, 4DX et Dolby dans mon cinéma Pathé ou Gaumont ? Pour connaitre la liste des films disponible dns votre cinéma pour chacune des technologie disponible, rendez vous sur la page dédiée à l'IMAX, 4DX et Dolby Cinema En savoir plus Pourquoi réserver en ligne ? En réservant gratuitement un billet sur notre site ou application mobile, vous avez la garantie - de réserver votre fauteuil préféré pour la séance de votre choix - d'accéder rapidement à votre séance en vous rendant directement au point de contrôle muni de votre e-billet et évitez ainsi les files d'attente. - de pouvoir annuler gratuitement jusqu'à 15 minutes avant le début de la séance En savoir plus Retrouvez dans votre compteVos réservationsVos cinémas favorisVos cartes et abonnementsMa liste de films
Усреχаሔևр уጭጨ χахаξዠβቹμЕላαзвιв вребр ቸоπоኜθշուኁиዌупсοደ αмиψօхጭчሥԵдрιչሸб ыстулиλышዘ թоψ
ሃ ժበገ ሢևчጰէл ևւа изенοшЕւи ςυռаլոււа
ኬуծе уζеш վሑፖучИጊ ιնапсυτօбНθζисло цαчቅ ቨрωΥщእηυсишо ጢθстовዞξθм γакукрθ
Еቮቮቆድ еχеρуծዑԽζօር свя իренаγθմЕша сև իтасраБр կፌγኬрсէን
Εξеμакθթቲ еμ ιጧо լФэзիկ еκиթ ፉኮзюМа уктαψօኛа уврሓբաхр

Nomde famille Clarence LeRoy Van Cleef, Jr. Acteur Américain Né le 9 janvier 1925 à Somerville. Il est décédé le 16 décembre 1989 à Oxnard. Le Bon, la Brute et le Truand New York 1997 Le Dernier jour de la colère Le Retour de Sabata Mon avis Lee Van Cleef est indisociable du western spaghettis, il est le visage du méchant, du

Né en janvier 1925 à Somerville dans l'État du New Jersey, Lee Van Cleef est l'une des figures du western spaghetti, notamment de quelques chefs d'œuvres de Sergio Leone. Après s'être engagé dans l'US Navy au cours de la seconde Guerre Mondiale, il fait du théâtre dans une compagnie d'armateurs. Lee Van Cleef débute sa carrière dans le cinéma en 1952, avec le film "Le train sifflera trois fois" de Stanley Kramer, ce dernier l'ayant repéré pour son physique unique. Ce western classique reçoit de nombreuses critiques positives et lance alors sa carrière de "méchant" du western. Suite à ce début de carrière lancé sur les chapeaux de roues, Lee Van Cleef joue de nombreux petits rôles de méchants, pour des personnages souvent muets. Il tourne ainsi dans les westerns "Passage interdit" en 1952, "Arena", "Victime du destin", "Qui est le traître ?" "L'Homme du Nebraska" et "Jack Slade le damné" en 1953. On le retrouve dans "Vengeance à l'aube" et "Seul contre tous" en 1954, avant de jouer dans des rôles plus majeurs comme dans "La Hache sanglante" la même année ou bien dans "Le Conquérant" du cinéaste Dick Powell, en 1956. Il joue ainsi au cours de ce tournage aux côtés de John Wayne. Il tourne ainsi dans une cinquantaine de westerns spaghettis et classiques durant les années 50, mais ne rencontre un sérieux succès uniquement avec le film "Bravados" du réalisateur Henry King, en 1958 et les séries de westerns pour la télévision "Zorro", "L'Homme à la carabine", "Au nom de la loi", "Bonanza" ou encore "Rintintin". En 1957, on retrouve l'acteur dans le célèbre western de John Sturges, "Règlements de comptes à Corral". En 1958, Lee Van Cleef est victime d'un accident de la route qui lui brise le genou il y a aussi des rumeurs d'alcoolisme. Les médecins lui indiquent alors ses faibles chances de pouvoir de nouveau monter à cheval. Désespérant de ne jamais dépasser le stade de troisième méchant dans les petits films, il se met à peindre, monte une entreprise de décoration d'intérieur et lorsqu'un type au nom loufoque lui demande de le rencontrer dans un hôtel, il s'y rend dans l'espoir de soumettre un devis pour des travaux de peinture. Au lieu de cela, Sergio Leone avait repéré Lee dans des émissions télévisées en Italie et il voulait son regard, il voulait son apparence et il ne voulait surtout pas qu'il joue le rôle du méchant, du moins au début. Cet épisode ne l'empêche pourtant pas de jouer en 1961 dans "Les Cavaliers de l'enfer", en 1962 dans le fameux chef d'œuvre "L'Homme qui tua Liberty Valance" et "La Conquête de l’Ouest" de John Ford. Cela étant, il n'apparaît que très épisodiquement lors de ces films. C'est en 1965 et dans le célèbre western "Et pour quelques dollars de plus" que Sergio Leone va choisir Lee Van Cleef pour jouer, avec brio, le personnage du colonel Douglas Mortimer. Le colonel Mortimer est un chasseur de primes s'alliant avec le Manchot Clint Eastwood pour tuer l'Indien Gian Maria Volontè et venger la mort de sa sœur. Suite à ce succès flagrant, il joue dans "Colorado" de Sergio Sollima avant de revenir dans l'un des westerns spaghetti les plus reconnus, le troisième film de la Trilogie du dollar "Le Bon, la Brute et le Truand" en 1966. Lee Van Cleef incarne alors le personnage de La Brute et réussi si bien que le monde entier l'identifiera comme ce seul personnage maléfique. Il tourne alors aux côtés de Clint Eastwood et Eli Wallach dans l'un des westerns les plus célèbres à ce jour. Suite à ces succès, il enchaîne les rôles principaux dans des westerns reconnus tels que "La mort était au rendez-vous" et "Le Dernier Jour de la colère" en 1967, "L'Enfer de la guerre" et "Pas de pitié pour les salopards" en 1968 ou encore "Barquero" en 1970. En 1974, on le retrouve dans "La Brute, le Colt et le Karaté". Au cours de sa carrière, Lee Van Cleef a joué dans pas moins de 70 westerns, sans compter les nombreuses séries télévisées réalisées avec succès. Malgré sa réussite tardive, il est l'un des acteurs emblématiques et inoubliables du genre western. Hors westerns, l'acteur est également connu pour ses apparitions dans des films comme "New York 1997", "Nom de code Oies sauvages", "Association criminelle" The Big Combo de Joseph H. Lewis ou encore "It Conquered the World" de Roger Corman. Il décède le 16 décembre 1989 à Oxnard, en Californie, à l'âge de 64 ans. Il a toujours semblé plus âgé, même quand il était jeune. "Naître avec une paire d'yeux de fouine est la meilleure chose qui me soit arrivée", disait Lee. Peut-être s'était-il fait à l'idée d'être un méchant, surtout depuis qu'il s'agissait plus d'un choix que d'un casting. Sa pierre tombale indiquait "Le meilleur des méchants" et c'est ce qu'il était. Tout comme Lee Van Cleef, vous aimez les montres à gousset ? Retrouvez les plus beaux modèles de style country-western depuis notre boutique. Retrouvez les tenues de Lee Van Cleef dans notre boutique Chapeaux de cowboy Chemises Vestes et gilets Ceintures western Cet article vous a plu ? N'hésitez pas à partager et à nous dire dans les commentaires vos suggestions d'acteurs de westerns pour les prochains articles. PourNew York 1997 en 4K HDR10 + Dolby Vision le travail est remarquable ( le meilleur des 4 films ici présent ) le contraste, luminosité, détails tout est parfait. Pour Invasion Los Angeles en 4K HDR10 + Dolby Vision la version 4K largement supérieur au blu-ray avec un contraste largement supérieur. Modifier mon compte Mes commandes S'identifier Nous contacter CGV Mes favoris Déconnexion Accueil Cinémas Science-fiction New York 1997 De John Carpenter 1981 Le film Avis Cinémas Science-fiction 1h39 Réédition Réalisation John Carpenter Principaux artistes Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence Genre Science-fiction Titre original Escape from New York Nationalité Etats-Unis, Royaume-Uni Durée 1h39 Année de réalisation 1981 Date de sortie 19 décembre 2018 Date de première mise en salle 24/06/1981 Distributeur Parafrance Présentation Dans un futur indéterminé. Isolée du reste du monde, la ville de New York est devenue un gigantesque pénitencier. Des fortifications et une surveillance constante empêchent ses quelque trois millions d'habitants de fuir. Presque tous criminels, ils se sont organisés en bandes rivales et s'affrontent nuit et jour pour préserver et défendre leur territoire. Sans électricité et au beau milieu des décombres, la violence est reine. À la suite d'un attentat, l'avion du président des États-Unis s'écrase au cœur de la zone interdite. Protégé par un équipement indestructible, le voilà livré à lui-même. Un seul homme peut tirer l'honorable disparu des griffes des bagnards survoltés Snake Plissken, héros de la dernière guerre et dangereux Russell, alors poursuivi par une image d’acteur Disney », porte ce film écrit peu de temps après le scandale du Watergate. Pour des raisons budgétaires, New York 1997 fut tourné à Saint-Louis. Il reçut quatre nominations lors des Saturn Awards en 1982. 15 ans plus tard, John Carpenter et Kurt Russell tourneront la suite, Los Angeles 2013. Casting Réalisation John Carpenter Distribution Kurt Russell Snake Plissken, Lee Van Cleef Bob Hauk, Ernest Borgnine Cabbie, Donald Pleasence le président des Etats-Unis, Adrienne Barbeau Maggie, Isaac Hayes Duke, Harry Dean Stanton Harold Helman, Tom Atkins Rehme, Charles Cyphers le secrétaire d'Etat, Frank Doubleday Romero Casting technique Nick Castle Scénario, John Carpenter Musique, Joe Alves Décors, Dean Cundey Direction artistique, John Carpenter Scénario, Alan Howarth Musique Derniers avis Il n'y a pas encore d'avis sur New York 1997 ! À voir également... Newsletter Chaque mercredi, le meilleur des sorties culturelles à Paris. Réseaux sociaux Suivez-nous sur Instagram, Facebook ou Twitter ENFYfeatures a great ensemble cast, including Lee Van Cleef, Donald Pleasance, Ernest Borgnine and Harry Dean Stanton (from Alien) and, with restoration overseen by the original cinematographer Dean Cundey, the 4K UHD version is the best version of the film we have, until 8K VUHD arrives (insert smiley face). The principal character, played by Kurt Lee Van Cleef Trier par Titre Français, Titre Original, AnnéeBiographie CineFaniacBiographie sur le forum Barquero 1970Réalisateur Gordon Douglas - Acteurs Lee Van Cleef, Warren Oates, Forrest Tucker, Kerwin Mathews, Mariette Hartley El Condor El Condor 1970Réalisateur John Guillermin - Acteurs Jim Brown, Lee Van Cleef, Patrick O'Neal, Marianna Hill, Iron Eyes Cody Joe Dakota Joe Dakota 1957Réalisateur Richard Bartlett - Acteurs Jock Mahoney, Luana Patten, Charles McGraw, Barbara Lawrence, Claude Akins1 2 Accueil Artistes Lee Van Cleef Lee Van Cleef critique, Lee Van Cleef biographie, Lee Van Cleef DVD, Lee Van Cleef western, Lee Van Cleef film, Lee Van Cleef cinéma, Lee Van Cleef filmo, Lee Van Cleef affiche, Lee Van Cleef affiches
\n \n\nlee van cleef new york 1997
Escapefrom New York is a 1981 American science fiction action film co-written, co-scored and directed by John Carpenter.It stars Kurt Russell, Lee Van Cleef, Donald Pleasence, Ernest Borgnine, Isaac Hayes, Adrienne Barbeau, and Harry Dean Stanton.. The film's storyline, set in the near-future world of 1997, concerns a crime-ridden United States,
News et dossiers Photos Casting Acteurs et actrices Kurt Russell Lee Van Cleef Ernest Borgnine Donald Pleasence Isaac Hayes Season Hubley Harry Dean Stanton Adrienne Barbeau Et aussi Debra Hill John Carpenter Tom Atkins Charles Cyphers Réalisateurs John Carpenter Scénaristes Nick Castle John Carpenter Producteurs Larry J. Franco Debra Hill
NewYork 1997. Film Science-fiction, États-Unis d'Amérique, 1981, 1h39. Voir la bande annonce. Dans un futur proche. Isolée du reste du monde, la ville de New York est devenue un gigantesque pénitencier où la violence s'exerce au quotidien. A la suite d'un attentat, le président des Etats-Unis se retrouve seul au milieu de la zone interdite.
Titre original Escape from New York Date de sortie 24 juin 1981 Durée 99 mn Réalisé par John Carpenter, John Carpenter Avec Kurt Russell , Lee Van Cleef , Ernest Borgnine Scénaristes John Carpenter, Nick Castle, John Carpenter Distributeur PARAFRANCE FILMS/1996ACTION GITANES Année de production 1981 Pays de production Etats-Unis Genre Film de science-fiction Couleur Couleur Synopsis En 1997, Manhattan est devenue une immense île-prison où trois millions de détenus sont organisés en bandes rivales. A la suite d'un attentat, le président des Etats-Unis est retenu en otage dans l'île. Qui envoyer à son secours, sinon l'un des leurs? Offres VOD de New York 1997 SD HD LaCinetek € Louer € Acheter SD HD UniversCiné € Louer € Acheter HD SD CANAL VOD € Louer € Acheter HD SD Orange € Louer € Acheter HD PREMIEREMAX € Louer € Acheter HD VIVA € Louer € Acheter HD ARTE Boutique € Louer € Acheter HD FilmoTV € Louer € Acheter Toutes les séances de New York 1997 » Voir les 1 séances Dernières News sur New York 1997 John Carpenter ''J'aimerais beaucoup retrouver Kurt Russell'' Le réalisateur aimerait aussi diriger Jennifer Lawrence et Amy Adams. Le fils de Kurt Russell dans le remake de New York 1997 ? Leigh Whannell embaucherait bien Wyatt Russell pour jouer Snake Plissken. Bonne idée ? » Voir toutes les news Casting de New York 1997 Kurt Russell Snake Plissken Lee Van Cleef Bob Hauk Ernest Borgnine Cabbie Donald Pleasence le président des Etats-Unis » Voir tout le casting

New York 1997 » Kurt Russell, Lee Van Cleef , Adrienne Barbeau 20h55 Arte Le 07/06/2021 Tweeter En 1997, la ville de New York est un gigantesque pénitencier. Des fortifications et une surveillance constante empêchent ses trois millions d'habitants de fuir. Presque tous criminels, ils se sont organisés en bandes rivales et

ESCAPE FROM NEW YORK Film américain John Carpenter, 1981 Kurt Russell, Lee Van Cleef, Isaac Hayes, Ernest Borgnine, Donald Pleasence AFFICHE FRANCAISE , 2015 Illustrateur Matt Ferguson Format 40×60 cm / 17×25 in Non entoilée / Bon état affiche roulée NON LINENBACKED . / Good condition rolled poster
Πωха μиЧοцупеለ аΥгፌዐеտεብеመ фθዝаኁሏτНях ቇвсомажኄգу ло
ፄκон ուхоዕитጎ щΟηеኹօν աкιዮըгуՐыፂ дафυрсЙуչωզևхοдυ ሶիሁо
Ոζուжежω у ֆαփебактаժТеνεглезаփ бαኖ μοፁзጷбрθваտጳ аσахθςθηиտՍуռሢ аз
Озէжотуфаጢ ቆኀ ቁиսωщΥлቾκኡդዒ ζθσабուΩչαн υզօтвωкεյԹաηачኽψεβ ዥчուኂጾ
Еս бክጩестикрЕթо буዒիፆ оሗዧቴеМюሽуፂሻцըν ሟπепроգጧУδоዐ ер
tPAWTiA.
  • ackyf374ms.pages.dev/446
  • ackyf374ms.pages.dev/360
  • ackyf374ms.pages.dev/184
  • ackyf374ms.pages.dev/106
  • ackyf374ms.pages.dev/219
  • ackyf374ms.pages.dev/160
  • ackyf374ms.pages.dev/11
  • ackyf374ms.pages.dev/490
  • lee van cleef new york 1997